Transports Urbains: Un GPS pour sécuriser les passagers
Mardi, 26 Juin 2012 19:09

C'est en se posant cette question que l'Organisation camerounaise d'aide aux personnes sans emploi (Ocampe), en partenariat avec le gouvernement, a mis sur pied «Protector». Un projet grâce auquel le transport urbain dans les villes sera désormais subordonné à un système de géolocalisation utilisant la technologie Gps, selon ses concepteurs.
Ce procédé, précise le directeur général d'Ocampe, Emmanuel Yohi, sera mis en place à travers des chapeaux électroniques aimantés qui seront loués aux propriétaires des taxis à raison de 2.000 Fcfa par mois. Ces chapeaux, apprend-on, seront reliés à un fichier central magnétique et électronique qui permettra l'identification automatique des véhicules et des conducteurs, où qu'ils se trouvent. Chaque chapeau est composé de trois ampoules: deux blanches pour éclairer le chapeau pendant la nuit, et une rouge pour signaler le danger. «C'est la couleur du chapeau qui signale le danger: Quand il est jaune, tout va bien. Quand il est rouge, ça veut dire que ça va mal», affirme Jules André Ngambi, directeur technique d'Ocampe.
Géolocalisation
Afin d'assurer une intervention rapide des forces de l'ordre, un écran capteur de signal de détresse sera installé dans les commissariats centraux et postes de gendarmerie, affirment les concepteurs. Pour ceux-ci, ce procédé est à même de retracer l'itinéraire quotidien d'un véhicule, y compris tous les arrêts effectués. «Protector est un système de 2 en 1: ça veut dire qu'il y a le chapeau et un kit Gps. Le kit possède un bouton pressoir qui signale l'alerte, ainsi qu'un microphone avec caméra incorporée qui peut permettre, sans violation d'intimité, de visualiser en cas de nécessité et de suivre les conversations dans le taxi», affirme M. Ngambi.
Ce procédé, précise le directeur général d'Ocampe, Emmanuel Yohi, sera mis en place à travers des chapeaux électroniques aimantés qui seront loués aux propriétaires des taxis à raison de 2.000 Fcfa par mois. Ces chapeaux, apprend-on, seront reliés à un fichier central magnétique et électronique qui permettra l'identification automatique des véhicules et des conducteurs, où qu'ils se trouvent. Chaque chapeau est composé de trois ampoules: deux blanches pour éclairer le chapeau pendant la nuit, et une rouge pour signaler le danger. «C'est la couleur du chapeau qui signale le danger: Quand il est jaune, tout va bien. Quand il est rouge, ça veut dire que ça va mal», affirme Jules André Ngambi, directeur technique d'Ocampe.
Géolocalisation
Afin d'assurer une intervention rapide des forces de l'ordre, un écran capteur de signal de détresse sera installé dans les commissariats centraux et postes de gendarmerie, affirment les concepteurs. Pour ceux-ci, ce procédé est à même de retracer l'itinéraire quotidien d'un véhicule, y compris tous les arrêts effectués. «Protector est un système de 2 en 1: ça veut dire qu'il y a le chapeau et un kit Gps. Le kit possède un bouton pressoir qui signale l'alerte, ainsi qu'un microphone avec caméra incorporée qui peut permettre, sans violation d'intimité, de visualiser en cas de nécessité et de suivre les conversations dans le taxi», affirme M. Ngambi.
C'est donc pour sensibiliser les parties prenantes qu'un séminaire d'imprégnation sur la rationalisation et la sécurisation du transport urbain par taxi par un système de géolocalisation d'alerte à travers les chapeaux électroniques d'identification a été organisé vendredi 22 mai dernier à la Chambre de commerce à Yaoundé à l'intention des syndicats de transport routier.